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Maître LEBRUN vient de publier un premier roman intitulé LE MASQUE.

Il s'agit d'un ouvrage de 496 pages relatant les aventures d'un jeune homme qui entreprend un long voyage après une douloureuse rupture  sentimentale. Le personnage principal est intrigué par le récit de sa tante au sujet d'un masque étrange identique à celui qu'il avait plaqué sur son visage juste avant d'être terrassé par un mal inconnu alors qu'il était enfant. En cherchant des informations sur ce masque, Mathieu va s'immiscer, malgré lui, dans une quête archéologique menée par des trafiquants d'art, tout en facilitant la fuite d'une jeune femme menacée de mort et pourchassée par son ancien amant.
De France aux États-Unis en passant par le Brésil ou le Mexique cette histoire emporte le lecteur dans un tourbillon de rebondissements. Un thriller haletant qui n'oublie pas de faire la part belle aux sentiments.

Ce livre peut être acheté sur les sites BOOKS AND DEMAND, FNAC, AMAZON, CULTURA, YOOBOOK, PLACE DES LIBRAIRES.... 

Il peut être aussi commandé chez tous les libraires avec le numéro ISBN 9782322169856

Extrait:

Il était allongé, immobile, les yeux ouverts, fixant les étoiles parfois effacées par des volutes de fumée qui montaient encore du champ de bataille. Les rares survivants allaient mourir, les humeurs qui suintaient de leurs corps meurtris, les râles qui s'échappaient de leurs poitrines ne laissaient aucun doute sur le sort de ces moribonds. Ces quelques heures à lutter à leurs côtés, à affronter la mort et à la donner, avaient fait de ces inconnus des frères, sans qu'ils n'aient jamais échangé une parole, ni même un regard. Il écoutait avec effroi mais résigné les respirations affaiblies et saccadées des rares survivants en sursis. Certaines étaient entrecoupées de gémissements ou de régurgitations provoquées par l'afflux de sang dans leurs gorges.
Cette écoute terrible l'obligeait à guetter avec impatience les derniers râles salvateurs qui mettraient fin à leur insupportable agonie. Comme eux, il n'aspirait désormais qu'au repos éternel,  mais aucun mal n'exsudait de son corps couvert du sang mélangé de ses ennemis et de ses frères. Les coups l'avaient curieusement épargné. Malgré la confusion de la bataille acharnée et l'intensité des corps à corps, aucune lame n'avait mordu sa chair et les flèches et les jets de pierres s'étaient miraculeusement détournés de lui....